Sophie Denis détonne.
Médium, voyante depuis une vingtaine d’années, cette jeune femme qui bénéficie d’une belle réputation, vit la pensée positive au quotidien.
Exit les côtés sombres et graves qui peuvent parfois coller à la peau du monde de la voyance.
Sophie Denis éclaire, et mobilise les énergies positives, pour que chacun puisse avancer sur un chemin lumineux.
Rencontre avec une femme solaire.
Parlez- nous de votre vie de medium ….
Je pratique la voyance et le coaching depuis une vingtaine d’années. Au fil du temps, j’ai développé le coaching car je me suis rendue compte que le suivi était tout aussi important que la prédiction.
Lors de mes séances, j’intègre la pensée positive.
Je « tire vers le haut » !
Cela ne veut pas dire que je suis dans la complaisance. Je ne mâche pas mes mots.
Mais je détecte les forces positives de mes consultants. Je mets en lumière la route qui se dresse devant eux, celle qui les mènera vers leur épanouissement personnel et professionnel.
Je propose aussi des formations personnalisées.
Certaines personnes ont des talents enfouis. Je les incite à développer leurs capacités (magnétisme, clairvoyance…etc).
Il faut savoir que nous sommes dans une époque où la spiritualité émerge pleinement. De nombreux consultants caressent l’envie de faire éclore cette richesse en eux.
Je les aide, je les motive, je leur donne confiance.
Je les aiguille vers leur Source intérieure.
Comment se déroule une consultation ?
Je donne deux consultations de voyance par jour.
J’ai habitué mes consultants à une certaine distance géographique. Comprenez par-là que je suis une femme qui bouge pas mal !
J’ai vécu de nombreuses années à l’étranger, et les personnes qui faisaient appel à moi à l’époque, se sont mises aux consultations par téléphone et par vidéo conférence.
J’ai été l’une des premières mediums branchées sur le courant des Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (NTIC) !
Je parle trois langues, le français, l’anglais et l’espagnol. Installée dans le Sud de la France, je donne ainsi des consultations à mes consultants qui peuvent se trouver à des milliers de kilomètres.
Vous savez, la voyance à distance, apporte un confort à tout le monde. Inutile d’être face à son consultant pour dérouler le fil de l’avenir.
Car tout est affaire d’énergie, de vibration. J’ai juste besoin d’entendre la voix de mon interlocuteur.
Quand les gens viennent me voir pour la première fois, je préconise une consultation complète. Celle-ci dure entre trois quart d’heure et une heure.
Je réalise alors une roue karmique où je dessine tous les domaines de vie. Elle sert de cadre, de base de travail.
Après cette photographie du karma du consultant, je ressens les zones à explorer en profondeur.
Nous sommes, en filigrane, dans le développement personnel.
Au fil de la consultation, je reçois des informations par le canal de la médiumnité : flashs, messages….
Je dois préciser qu’une fois la consultation terminée, j’oublie les informations reçues du monde invisible. Mes consultants ne s’en offusquent pas, ils connaissent ma manière de fonctionner. Les nouveaux pourraient penser que j’ai des trous de mémoire ! (sourires)
Ce n’est pas du tout çà. La médiumnité est quelque chose de particulier. En état de médiumnité, je suis dans un autre état de conscience.
Difficile à expliquer avec des mots. Mais mes confrères comprendront ce que je veux dire…
Pour les consultations avec des personnes que je connais déjà, nous allons à l’essentiel : une question, et je pars à la quête des réponses.
Je détricote les nœuds, pour voir au-delà du blocage.
Je vais à la source pour ainsi dire, et je remonte le courant, avec des solutions entre les mains.
Mon rôle ne se limite pas à la pure prédiction même si elle a son importance. Je suis aussi là pour révéler les moyens qui peuvent être mis en œuvre pour atteindre un objectif. Je vois souvent des gens qui sont dans des schémas de répétition. Mettre en relief ce mode de fonctionnement, peut provoquer un déclic et donc un changement radical chez certains.
Évidemment, dans la vie, il y a des événements incontournables. En cela, nous avons une destinée. Mais chaque moment fort de notre existence a un sens.
À nous de le comprendre, pour grandir, pour évoluer.
Nous pouvons en parallèle, optimiser nos chances, et faire pousser nos talents.
Se faire confiance est l’une des clés dans la vie, pour avancer.
Petit retour dans le passé : quelles ont été les rencontres qui vous ont conduite sur ce chemin professionnel ?
Dès l’âge de 13 ans, j’entendais sans arrêt : « mais comment peux- tu savoir cela ?, « Tu m’avais dit telle chose, et c’est arrivé, comment fais-tu ? »
Je faisais des annonces à mon entourage, sans m’en rendre compte. En réalité, celles-ci étaient des prédictions, mais je mettais cela sur le dos du bon sens.
Je faisais un peu peur aux autres. Je ne comprenais pas pourquoi…
À l’époque, nous habitions à Lyon. Nous avions une femme de ménage, que j’aimais beaucoup.
Hasard ou coïncidence, elle était médium. Elle m’a enseigné l’art de la tarologie, tous les mercredis, en cachette de ma mère. Puis j’ai rencontré une astrologue réputée, qui m’a appris le langage des étoiles. Elle m’a aussi ouvert la porte sur le monde des énergies subtiles.
J’étais en mode de construction.
En parallèle, j’étais attirée par des personnes un peu particulières : Entendez par là des astrologues, des médiums…(rires)
Déjà, à cette époque, je consultais des voyants.
J’ai été assez traumatisée par certaines consultations car je sentais qu’on tentait de me mettre en état de dépendance. D’instinct, j’ai compris que ce n’était pas normal, pas « honnête » de tenir un tel comportement.
Jeune consultante adolescence, certains mediums tentaient de me rendre accro, en m’insufflant quelques bonnes angoisses.
Moi, j’étais déjà dans l’empathie, entourée d’énergies positives. J’ai vu d’entrée de jeu, les limites, les failles, et les travers de ce métier…
J’ai ensuite mené ma barque sur d’autres rives.
Après mes études supérieures, j’ai travaillé pour le compte d’une compagnie aérienne, puis je suis devenue graphiste.
À 28 ans, j’ai eu ma première fille. J’ai voulu prendre du temps pour elle, et j’ai pris un virage à 180 degrés.
Je me suis installée comme médium professionnelle à Lyon, car après tout, c’est ce que j’étais au plus profond de moi !
Le bouche à oreille a fait le reste. Je n’ai jamais fait de publicité. Les retours positifs m’ont confortée dans mon choix de vie.
Nous sommes partis vivre en Espagne en famille, durant cinq ans. Mes consultants m’ont suivie par le biais de la webcam.
De retour en France –je suis installée à Cannes- la vie continue ainsi, entre la voyance, le coaching, mes formations….
J’ai beaucoup de gratitude pour les personnes qui m’ont aiguillée vers mon chemin de vie.
Tout cela, ce n’est que de l’amour !
Vous mettez en pratique la pensée positive depuis longtemps….Racontez- nous.
C’est un phénomène naturel. Je suis dans l’empathie.
Très jeune, je suis sortie du dogme religieux. Je dis souvent que les religieux sont des personnes qui ont peur de l’enfer, alors que les spirituels sont déjà passés par là…
Cela ne va pas plaire à tout le monde, mais je suis fidèle à ma pensée.
Puis je me suis rapprochée du bouddhisme. Cette philosophie vous invite à être sans cesse dans le positif.
Enfin, j’ai découvert des méthodes, comme la loi de l’attraction. Il y a cinq ans, je parlais de l’ ho’oponopono. Les gens me regardaient de façon bizarre…Ils devaient penser que je faisais partie d’une une secte.
Regardez aujourd’hui, des tas de livres parlent de cette méthode extraordinaire !
Être positive demande un effort. Une certaine constance. Je ne suis pas wonderwoman, j’ai des soucis comme tout le monde mais quand ils ont raison de moi, je réalise un transfert : je me mets en mode pensée positive et cela fonctionne !
Lors de mes consultations de voyance et de coaching, j’enseigne quelques règles de base pour « penser positif et voir positif ».
J’explique que je suis là pour « tirer vers le haut ». Je ne plonge pas dans le bain des complaintes. Car tout le monde peut s’en sortir.
Même si une vie peut sembler bien sombre à première vue.
Il y a des techniques, des prises de conscience.
Tout peut changer dans notre vie,
si nous adoptons un autre regard sur la vie.
Et si nous avons le cœur ouvert.
Vous avez beaucoup voyagé. Vous avez une certaine ouverture sur le monde…
Je n’aime pas les clichés tels que « les voyages forment la jeunesse ». Mais pourtant, il y a un fond de vérité…
J’ai parcouru de nombreux pays (je n’ai pas réalisé le quart de ce que je souhaiterais en terme de voyages), et j’ai observé, intégré les façons de vivre, de penser.
Je suis revenue avec une conclusion : nous tous, êtres humains, avec nos origines, nos cultures, nos cheminements personnels différents, nous souhaitons une seule chose : être en harmonie dans notre vie.
C’est un souhait universel.
Vous avez créé le Journal des Bonnes Nouvelles (JBN), un site d’informations 100% positives….
Ce site est l’un des amours de ma vie. Il est à l’image de ce que je suis, de ce que je veux donner aux autres.
Offrir du sens, de la bienveillance, de la lumière….C’est ma raison d’être !
Pour en revenir à la naissance du projet, tout est né de cette réalité : j’en avais assez de lire des mauvaises nouvelles dans les médias. Le négatif nourrit le négatif.
C’est un cercle vicieux qui n’en finit pas de prendre du poids, de la force.
Je suis allée à contre- courant, en faisant germer l’idée d’un média dédié aux belles âmes, aux projets porteurs, en un mot, au POSITIF !
Je sentais éclore un réel engouement pour ce projet. Il y avait de la demande, pour ainsi dire.
Nous sommes en effet à une époque où les gens veulent plus de lumière, plus d’ouverture et de sens.
J’ai donc décidé de créer un vrai journal sur internet. Avec une équipe éditoriale, nous avons lancé le JBN en mai dernier. C’est un vrai quotidien qui comporte 23 rubriques : santé, sciences et technologies…etc
Nous publions dix articles par jour. Ce journal est payant, à raison de 5 euros par mois. Le Journal des Bonnes Nouvelles apporte toutes les informations positives qui proviennent du monde entier.
Le JBN est complètement distinct de mon activité de médium. Je tiens à faire la séparation entre mes deux vies professionnelles.
Je suis fière du JBN, car il entre en résonance avec mon être intérieur.
Je suis dans la transmission, dans le partage.
Je dis souvent à mes consultants :
« Je vous envoie de bonnes ondes ! »
Et bien là, avec le Journal des Bonnes Nouvelles, la journaliste que je suis, envoie aussi de bonnes ondes.
Et j’en suis heureuse !
Sophie Denis
Médium spirit. Consultation en cabinet, en visioconférence et par téléphone.
06210 MANDELIEU
06 86 62 27 28
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