Reynald Roussel L’au-delà nous invite à changer notre regard sur l’absence

Reynald Roussel est  relié au monde invisible, depuis son enfance.

Ce médium spirite renommé,  délivre, depuis plus de trente ans,  les messages des défunts, en public, dans des associations d’aide au deuil et à travers sa structure les « 4 R », mais aussi à son cabinet, à Paris.

Cet homme franc et humble, est aussi un voyant réputé, notamment dans le monde des affaires.

Reynald Roussel est l’auteur de nombreux ouvrages –« Connexions avec l’au-delà », « Ce que les morts nous disent », « Un autre regard sur l’invisible »…

Ce médium, qui marque les esprits, met toute son énergie, pour témoigner de la survivance de l’âme après la mort physique.

C’est sa raison d’être.

Interview.

Dès votre enfance, vous avez été très entouré par les vivants…et les défunts !

En effet, dès l’âge de cinq ans, je me suis retrouvé connecté au monde invisible. Mais évidemment en tant qu’enfant, je n’en avais pas conscience.

Je voyais ainsi beaucoup de gens, qui étaient de l’autre côté du voile.

Mon premier souvenir marquant est celui-ci : au cours d’un repas de famille, nous étions douze à table. Bizarrement, il n’y avait que dix couverts ….

J’ai demandé à ma grand-mère : « mais pourquoi les deux personnes qui se trouvent en bout de table, n’ont pas d’assiettes ? »

Elle m’a répondu : « mais enfin de qui parles-tu ? »

Je lui ai dit : « L’oncle Victorien et la tante Lucie n’ont pas de couverts ! »

Or ces deux membres de notre famille étaient décédés…

Ma grand-mère est devenue blême.

Ma grand-mère m’a demandé de me taire.

Le lendemain, elle m’a conduit illico presto chez un guérisseur. Ce dernier m’a fait boire de l’huile de foie de morue durant six semaines, afin de me calmer un peu….

 

J’ai compris une chose : je ne devais plus parler de ce que je voyais.

 

Mais évidemment, il y avait toujours beaucoup de monde autour de moi : des adultes, des enfants décédés… Je les voyais et je les entendais, comme n’importe quel vivant.

J’ai été un enfant très solitaire.

J’adorais aller à l’église, non pas pour prier, mais pour être dans le silence. Une femme jouait de l’harmonium. J’écoutais ses compositions.

Un jour, j’ai eu une vision : une statue a pris forme humaine.

Il s’agissait du curé d’Ars, décédé au XIXème siècle.

Il est venu me parler. Il m’a dit que plus tard, je devrai beaucoup prier pour les gens et que j’aiderai de nombreuses personnes en souffrance.

Je n’ai pas eu peur.

Mais du haut de mes sept ans, je ne comprenais pas du tout le sens de ses messages.

C’est bien plus tard, que tout est devenu limpide.

J’ai ensuite passé une adolescence normale, heureuse, même si décidément, il y avait foule de personnes autour de moi (sourires).

J’étais en confiance, donc mon quotidien était apaisé.

 

 

À l’âge adulte, vous  avez embrassé une voie plutôt classique, mais la médiumnité a toujours été très présente dans votre vie….

À 18 ans, j’ai effectué mon service militaire, puis après un apprentissage, j’ai exercé le métier de coiffeur durant de nombreuses années.

J’avais l’espoir de travailler un jour, dans un salon de renom. J’aimais beaucoup ce métier, même si j’ai dû faire mes preuves, comme tout jeune arrivant sur le marché de l’emploi.

 

Lorsque je coiffais mes clientes, je recevais des messages de leurs défunts…

 

Je tiens à préciser que je coupais les cheveux de personnes importantes. Donc parfois, je m’autorisais à délivrer ces messages, mais la plupart du temps,  je sentais que je devais me taire, au risque de passer pour un farfelu.

Je n’étais qu’un petit coiffeur, et il fallait que je reste à ma place…

Le monde invisible me portait, m’aidait.

Un jour par exemple, une femme connue a voulu que je m’occupe de sa chevelure. C’était une coiffure que je ne savais pas faire. J’étais très embarrassé car je sentais que l’on m’attendait au tournant. Je jouais ma place avec cette coupe de cheveux !

Je suis allé me recueillir un instant dans les toilettes et j’ai demandé de l’aide au monde invisible.

Au moment de coiffer cette dame, mes mains ont été guidées. Une incroyable sensation ! Et le résultat a été à la hauteur des espérances de ma cliente.

Cette aide de l’au-delà m’a toujours donné une grande confiance en moi.

On entend souvent dire : « il faut demander pour recevoir ». Et c’est vrai ! Je demande souvent de l’aide au monde invisible, et je reçois ses bienfaits.

 

 

Un jour, vous avez pourtant décidé de vous consacrer entièrement à votre médiumnité…

Au fil du temps, je n’arrivais plus à coiffer.

J’étais en phase de saturation, pour ainsi dire.

 

À 30 ans, j’ai annoncé à ma famille :

« j’arrête mon métier de coiffeur et je m’installe comme médium « 

 

Mes parents ont été catastrophés !

Être médium, ce n’était pas un métier ! De plus, c’était un peu honteux pour eux…

Dans ma famille, il n’y avait aucun  médium,  voyant, ou guérisseur…Ce monde faisait peur.

Dans un premier temps, j’ai continué mon travail de coiffeur à temps partiel. Le reste du temps, je suis parti à la rencontre de médiums, qui donnaient des séances publiques dans des salles parisiennes, comme la salle Psyché. Je les ai vus travailler, jour après jour.

J’observais et j’étudiais leur façon d’exercer.

Un 21 novembre, un médium qui devait assurer une séance publique à la salle Psyché, a été obligé d’annuler sa séance, à la dernière minute. La responsable de la salle, qui connaissait mes facultés, m’a alors demandé de le remplacer au pied levé.

Je me suis ainsi retrouvé devant des tas de personnes, en attente de nouvelles, de signes de leurs proches défunts.

La peur au ventre, je me suis mis en position de relais entre le visible et l’invisible, et la communication a pu s’installer, de manière fluide et naturelle.

Cette première a été un moment décisif de ma vie.

J’ai réalisé que ma place était là : je devais, grâce à ma médiumnité, témoigner de la survivance de l’âme après la mort. Je pouvais réellement aider les personnes endeuillées, en leur donnant des messages de leurs chers défunts.

Trois jours plus tard, j’ai réitéré l’expérience à la salle Psyché.

Pour information, j’ai donné par la suite, des séances de médiumnité publique dans cette prestigieuse salle, durant dix ans.

Pour parfaire mon « apprentissage », j’ai consulté tous les voyants et les médiums de Paris, afin de voir là aussi, comment ils exerçaient leur métier.

J’ai vu tous les cas de figures… Là encore, je me suis fait mon idée sur la question. Je n’ai retenu que le meilleur.

Un an plus tard, je me suis donc installé comme médium et voyant.

J’avais la maturité et l’expérience, pour aider et aiguiller mes semblables.

 

 

Vous donnez aussi des consultations de voyance. Quels sont vos domaines de prédilection ?

Je ne fais pas payer mes séances de contact avec les défunts. C’est une règle. Pour moi, être médium spirite, c’est un peu une mission que l’on m’a confié. Donc ceci reste dans le domaine du sacré, de la pureté.

Pour vivre, j’ai donc proposé des consultations de voyance. Au tout début de mon activité,  mes anciennes clientes du salon de coiffure sont venues me voir.

Le bouche à oreille a fait le reste.

Il y a aussi des rencontres qui ont donné un coup d’accélérateur à ma carrière. Je pense notamment à la célèbre voyante Yaguel Didier.

Elle m’a mis en contact avec une dame connue. Celle-ci organisait des manifestations, qui attiraient le « Tout Paris ».

Mon carnet d’adresses s’est rempli, encore une fois, naturellement.

Au fil des années, je me suis spécialisé dans la voyance pour les hommes d’affaires. Le monde invisible m’a guidé vers ce domaine.

Je suis très performant dans ce secteur : la bourse, les achats d’immeubles, le monde des entreprises, les investissements…

Les hommes d’affaires prennent les informations, et ils les comparent à celles qu’ils ont, plus « terre à terre ».

Cet exercice est passionnant. Je ne m’en lasse pas !

 

Reynald Roussel lors d’une conférence

 

Revenons à vos séances publiques de médiumnité, que vous donnez aux quatre coins de la France, et à Paris…

Je tiens ces séances, entre terre et ciel, depuis 30 ans et croyez-moi, chacune d’entre elles est unique.

Quand je vois des personnes en deuil, repartir soulagées, je suis heureux.

Avoir un contact avec un proche disparu n’enlève pas la douleur, mais cela donne un autre regard sur l’absence.

Parfois, certaines rentrent chez elles, sans avoir eu de message. J’en suis désolé.

Mais il faut savoir que le contact médiumnique n’est pas automatique.

D’une part, certains défunts peuvent ne pas vouloir donner de messages.

Ils peuvent aussi ne pas vouloir passer à travers moi.

Les défunts choisissent leur médium, en fonction de leur caractère.

Et puis il y a ceux qui ne peuvent pas venir.

Il faut savoir que cela leur demande beaucoup d’énergie de venir à notre contact.

J’ai donné des séances publiques aux quatre coins de la France, dans des associations d’aide au deuil.

Aujourd’hui, j’ai ralenti le rythme.

Je dois préciser qu’il y a un an, j’ai fait un infarctus. J’ai subi un quadruple pontage. « Là- haut », ils m’ont dit qu’ils avaient encore besoin de moi pour témoigner,  et aider les êtres en peine.

C’est incroyable, mais j’ai retrouvé la forme, l’énergie très rapidement après ce grave accident de parcours ! J’en suis le premier surpris.

Je continue donc à donner des séances publiques, mais j’aimerais peu à peu passer le relais à de jeunes médiums.

Certains sont formidables !

Ils dépoussièrent le monde de la médiumnité avec humanité, et esprit. Ils font un travail fabuleux. Ils sont dans une nouvelle énergie. Ils ne s’embarrassent pas des théories d’Allan Kardec et de toute cette culture ésotérique…(sourires)


Que savez-vous de l’Au-delà ? Que vous disent les défunts ?

Je n’ai pas d’informations précises sur le monde invisible.

Ce que j’ai pu comprendre, c’est que sur terre, nous sommes jugés par les humains alors que de l’autre côté, il existe un règlement spirituel, auquel nous ne pouvons pas échapper.

Les défunts disent souvent qu’ils sont dans la lumière, qu’ils sont bien.

Ils expliquent qu’une fois arrivés à destination, ils n’ont plus besoin de notre aide.

Par contre, juste après leur départ vers l’au-delà, ils sont souvent bloqués par le  fait de voir leurs proches dans la souffrance.

Suite au décès d’un proche, il faudrait accepter leur départ et vivre le mieux possible….évidemment, je vous l’accorde, c’est beaucoup plus facile à dire qu’à faire !

Les défunts ne peuvent pas réellement nous aider matériellement dans notre vie sur terre.

Ils arrivent toutefois à nous envoyer de l’énergie, de la force pour gérer nos émotions.

Par contre, ils peuvent adresser nos demandes, à la Source supérieure, et ensuite, l’aide peut nous être envoyée si elle est nécessaire à notre évolution.


Des femmes ont particulièrement marqué votre vie…

En effet, les femmes ont toujours joué un rôle très important dans mon parcours.

Évidemment, je dois parler de ma rencontre avec la grande mystique Marthe Robin. Je raconte cet événement marquant dans mon livre « Ce que les morts nous disent ».

Nous étions en 1978,  j’avais 26 ans.

J’étais malade, mes vertèbres se soudaient entre elles.

Les médecins restaient circonspects.

Ils voulaient m’opérer et me placer des broches dans le dos.

Je n’étais pas du tout d’accord avec cette idée !

Un jour, j’étais en vacances en Ardèche. Je souffrais du dos. Une personne m’a dit d’aller voir la guérisseuse Marthe Robin, dans la Drôme.

Je m’y suis rendu. Arrivé sur place, je  suis rentré dans une ferme, au confort spartiate.

Je suis allé auprès de cette femme grabataire, qui était dans son lit. Et nous avons parlé durant une heure, de tout, et notamment de religion.

Moi qui était en opposition avec l’église, elle m’a dit une phrase qui reste gravée en moi : « l’église n’est pas Dieu ! »

Si vous saviez combien cette parole a pu me libérer !

J’ai ainsi pu  retrouver la Foi, la vraie.

 

Je me suis réconcilié avec Dieu.

 

Nous avons ensuite prié, pour ma guérison.

Quand je suis ressorti de chez elle, je n’avais plus du tout mal. Je n’ai plus jamais eu d’ennuis sérieux avec mon dos…

Quand j’évoque Marthe Robin, je ressens des frissons car cette femme hors du commun a marqué mon âme, à tout jamais.

Autre femme qui a laissé son empreinte dans ma vie : la célèbre et grande médium Hélène Bouvier.

J’avais demandé un rendez-vous avec elle. Je suis allé la voir chez elle. Je me souviens,  il y avait des tas de chats autour d’elle.

Elle m’a dit : « Je ne peux rien vous dire car vous êtes médium, comme moi !»

Notre histoire ne s’est pas arrêtée là.

Un jour, j’étais présent à la salle Psyché, et j’ai demandé à une personne : « Est-ce que vous savez si Hélène Bouvier fait travailler des médiums? »

Elle m’a dit : « non, elle ne fait travailler personne»

Étrangement, le lendemain, un monsieur m’a téléphoné pour me demander si je voulais bien travailler aux côtés d’Hélène Bouvier, dans cette salle, pour des séances publiques de médiumnité.

J’étais stupéfait ! Mon rêve était en train de prendre vie. Je vouais en effet une grande admiration à cette femme exceptionnelle.

Durant trois ans, à raison d’une fois par moi, j’ai ainsi œuvré à côté d’Hélène Bouvier. C’était magnifique.

La dernière fois où elle a fait une conférence, c’est-à-dire la veille de son décès, elle s’est levée et elle a dit à l’assemblée : « Reynald Roussel va désormais me remplacer à la salle Psyché ».

Je me suis retrouvé en état de grand stress.

Le lendemain, Hélène Bouvier nous a quittés.

Et puis, autre femme qui a changé le cours de ma destinée : la voyante Yaguel Didier, dont j’ai parlé précédemment.

Elle m’a fait rencontrer les bonnes personnes, au bon moment. Je luis dois beaucoup et je la remercie de tout mon cœur.

Vous avez créé l’association « les 4 R ». Parlez- nous de cette structure….

Après le décès d’Hélène Bouvier, je voulais faire la distinction entre elle (je ne voulais pas passer pour l’héritier, la pression était trop forte),  et moi.

Donc en juin 1999,  j’ai créé cette association « les 4 R » : « Rencontres Recherches Reynald Roussel ».

J’ai cherché une salle à Paris pour donner des conférences, avec l’association « Les 4 R ».

Là encore, le monde invisible m’a aidé, et guidé.

J’ai trouvé le lieu idéal. Puis j’ai fait mon tour de France, de Dunkerque à Marseille, de Grenoble à Brest, afin de donner des séances publiques de médiumnité, via cette association.

J’ai ralenti le rythme comme je le précisais auparavant.

Je donne maintenant des conférences à Paris, quatre fois par an, à Valence (trois fois dans l’année), et dans d’autres villes aussi.

À terme, j’espère que des jeunes médiums reprendront l’association.

Le statut d’association m’a permis de reverser tous les bénéfices la structure, à des œuvres caritatives, comme les Orphelins d’Auteuil, les Orphelins des sapeurs-pompiers, les associations pour les malvoyants et les aveugles,  et bien d’autres encore…

C’est important à mes yeux, d’apporter ma pierre.

 


On vous retrouve souvent aux côtés d’autres médiums spirites de renom, tels que Christine André, Florence Hubert, Henry Vignaud. Vous semblez être tous complémentaires…


En effet, nous avons tous notre propre caractère, et nous sommes vraiment complémentaires.

Il n’y a aucune concurrence entre nous.

Nous travaillons dans la même énergie, avec le respect de la personne, qui est en deuil.

En ce qui me concerne, je peux passer pour un ours, avec mon côté un peu abrupt. C’est vrai,  on m’aime ou on ne m’aime pas ! (rires)

Christine André, c’est la douceur,  Henry Vignaud, c’est la crème, la tolérance. Florence Hubert est un peu comme moi, pleine de dynamisme, elle dit les choses sans détours.

J’aimerais un jour, que nous soyons tous les quatre réunis, pour une séance publique de médiumnité. Ce serait formidable !

 

Vous avez publié de nombreux livres…On ressent chez vous le besoin inépuisable de témoigner de l’existence du monde invisible.

J’ai commencé à travailler à l’âge de 13 ans, je n’ai pas fait d’études poussées, alors lorsque « là-haut », ils m’ont dit « tu vas écrire des livres », j’ai bien rigolé !

Et pourtant aujourd’hui, ils sont là et j’ai reçu tellement de  retours positifs de la part des lecteurs…

À travers « Mon aventure avec le monde invisible »,  « Connexions avec l’au-delà », « Ce que les morts nous disent», «Un autre regard sur l’invisible »,  j’ai raconté mon parcours, et délivré des témoignages.

Je suis en train d’écrire mon prochain livre, avec Christine André. Ce sera comme un « ABC de l’au-delà ». Il sera publié cet automne.

En 2015, sortira mon autre ouvrage « Confidences spirituelles ».

Notre rôle consiste à aider nos semblables, qui sont dans la peine, suite à un deuil.

Expliquer, preuves à l’appui, que la mort n’existe pas, que le monde invisible est là, tout près de nous…telle est ma raison d’être.

Je regrette simplement que l’on m’associe au monde du « paranormal », avec toute la négativité que cela sous-entend…

Le  visible et l’invisible vivent côte à côte…Cette réalité est évidente.

Je la vois, je la touche, je l’entends depuis mes plus jeunes années.

Il n’y a rien d’extraordinaire.

C’est juste « normal »

 

Reynald Roussel

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La Rédaction

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5 commentaires sur “Reynald Roussel L’au-delà nous invite à changer notre regard sur l’absence

    Youmbi

    (2 janvier 2020 - 21 h 27 min)

    pourriezvous me donner un rendez-vous pour le mois de février. En vous remerciant par avance, bien à vous Sandrine Youmbi

      La Rédaction

      (8 janvier 2020 - 0 h 36 min)

      Bonjour,

      Reynald Roussel ne donne aucun rendez-vous via cette partie commentaire.

      Cordialement,
      L’équipe du Guide de la Voyance

    buridan

    (5 février 2022 - 15 h 55 min)

    Bonjour
    J’habite dans le gers et je voudrais avoir les passages de Mr Roussel pour l’année 2022. Du moins le plus proche!
    Merci

      La Rédaction

      (25 février 2022 - 17 h 23 min)

      Bonjour
      Nous pouvons que vous inviter à prendre contact avec ce dernier afin de connaître son planning.
      Cordialement
      L’équipe du Guide de la Voyance

    Pomarede Danielle

    (17 mars 2022 - 15 h 20 min)

    Bonjour,
    J’aurais voulu rencontrer Mr Roussel en Ardèche mais le numéro de téléphone qui s’affiche n’ est pas en service. Comment le contacter ?
    Merci.

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